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  • : Au fil de la Vallée de l'Aube
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  • Evelyne Prodhon
  • Tu peux tout accomplir dans la vie, si tu as le courage de le rêver, l'intelligence d'en faire un projet réaliste, et la volonté de voir ce projet mener à bien.
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AU FIL DE L'AUBE

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Communauté de communes : tél. 03 25 88 14 54 lundi et mardi de 8 h à 12 h, ainsi que jeudi et vendredi de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30
Sigfra : té-fax 03 25 88 14 82 lundi, jeudi et vendredi de 9 h à 12 h
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Médiathèque : tél 03 25 88 13 36 du mardi au vendredi de 14 h à 18 h 30 et samedi de 14 h à 16 h
Foyer rural : tél. 03 25 87 56 05
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ONF : tél. 03 25 84 20 42
ADMR des Quatre-Vallées : tél. 03 25 90 72 25 mardi et vendredi de 9 h à 12 h




 
 

 

 


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 BIENVENUE   DANS   LA   VALLEE   DE   L'AUBE      

3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 13:43


Pour la cinquième année, une soixantaine de musiciens se retrouvent à l'abbaye d'Auberive pour « Les rencontres de fanfares non conventionnelles » du 31 juillet au 7 août.

Cette semaine de musique en liberté se conclura par une journée spéciale donnée au sein de l'abbaye, avec un concert « imprévisible » samedi 6 août à partir de 18 h 30. La soirée sera composée de la présentation de la version finale du spectacle ainsi que de nombreuses surprises festives.

 

fanfares 2011fanfare-7.jpg

Cette manifestation est organisée par l’association Scudo52, dont le but est la promotion et la réalisation de recherche sur la dictatique et sur la production musicale fondée sur la liberté d’expression et le respect de l’individu. Autres objectifs de Scudo : l’expérimentation et la réalisation de nouvelles formes de productions musicales en relation avec les autres arts existants, arts plastiques, théâtre, danse, vidéo).  « …il ne s’agit pas de prendre en charge les autres, mais de leur donner, s’ils le souhaitent et ont vraiment quelque chose à dire, les moyens de se dépasser eux-mêmes, de les pousser parfois dans des endroits où ils ne seraient jamais allés seuls et qu’ils découvriront tout au long de cette semaine ».

Variazione, des émotions à partager

« Variazione » est le nom donné aux « laboratorio per banda non conventional » (laboratoires pour fanfares non conventionnelles), conduit par Salvatore Panu depuis 2005. Musicien, docteur en science de l’éducation, il est le fondateur de l’école de musique Ivan-Illich de Bologne (Italie). Cette même année, il crée le réseau Ivan-Illich dans l’intention d’ouvrir et de partager son expérience dans le domaine de l’apprentissage et l’éducation musicale et la recherche sur les cultures populaires de traditions orales.

Actuellement, ce réseau regroupe des formations musicales en France, en Espagne et bien sûr en Italie. Le projet « Variazione » se propose d’élargir ce réseau aux pays européens et de réunir une grande partie de ces formations à l’abbaye d’Auberive tous les ans au début du mois d’août. Mis en œuvre par l’association Scudo52, le projet cherche à s’inscrire dans le paysage culturel de la Haute-Marne en organisant des échanges réguliers avec les écoles de musique, les associations, les musiciens du département.

Un microscome créatif idéal

Une fanfare non conventionnelle pourrait être une fanfare qui pratique une approche musicale non académique, dans un esprit de recherche et d’expérimentation, tant du point de vue de son répertoire que de la gestion humaine de son collectif. Il s’agit de petites formations de cinq à quinze éléments dans lesquels nous ne trouvons par de chers d’orchestre, ni de directeurs de fanfares avec une baguette, mais un collectif de musiciens réunis autour d’un projet de création sonore. Leur répertoire, le plus souvent nourri de différentes influences, associe musique populaire, jazz, écritures et improvisations.


A la recherche de nouvelles « théories musicales » et de mémoires utiles aux stratégies et aux parcours d’apprentissage dans la pratique de la musique d’ensemble, cette rencontre de fanfares propose à chaque formation de témoigner de sa recherche créative, d’échanger son expérience, sa tentative d’élaboration d’un microsome créatif idéal.

Réservation au 03 25 84 20 20

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 21:48

 

Un nouveau dispositif de visite est proposé à l’abbaye, grâce à un audio guide interactif, il est maintenant possible d’effectuer des visites libres et à son rythme.

 

audio guide abbaye auberive

 

Depuis le début de la saison, l’abbaye d’Auberive s’est dotée de 12 audio guides Disponibles sans surcout à l'accueil de l'abbaye, ils proposent la visite historique de l'abbaye en trois quart d’heures.

Du cloître au Moulin, en passant par l’aile ouest, le visiteur a une vision complète de l’architecture et de l’histoire de l’abbaye d’Auberive grâce à ce tout nouveau audio guide. Le parcours qui lui est proposé lui fait suivre les pas des visites guidées et à son tour, il peut cheminer dans les mystères de l’abbaye cistercienne d’Auberive.

Cet audio guide interactif est un support judicieux pour Alexia Volot, responsable du site de l’abbaye, puisqu'il permet de rendre accessibles les connaissances historiques concernant le bâtiment, sans guide,  il anime et donne une seconde vie aux pierres cisterciennes en les faisant résonner de sons très vivants, comme des musiques de Beethoven ou « le temps des cerises » : à travers l'audioguide, la visite continue.

Il s'agit d'un audio guide interactif et tactile. Pour une découverte libre des lieux, à son rythme, et ce, quels que soient l'heure d’arrivée (aux heures d’ouvertures de l’abbaye), la nationalité ou les centres d’intérêt du visiteur.

Disponible en quatre langues (français, anglais, allemand, et néerlandais,), ce système très souple, léger, maniable et peu encombrant est actuellement ce qui existe de mieux pour personnaliser la visite. Tout visiteur dispose ainsi d’un guide personnel lui proposant des commentaires passionnants, de superbes photographies, des documents et des clichés anciens

Très simple d’utilisation, sur un plan ou un document de visite, il suffit d’effleurer une image, une icône, un texte, pour pouvoir écouter le commentaire associé. De cette manière, l’audio guide permet au visiteur d’explorer l’abbaye de façon autonome, en suivant le parcours à son gré.

 
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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 21:24


Une soirée musicale exceptionnelle a été proposée samedi dernier à la Chapelle de l’Abbaye d’Auberive.  Le Trio Aleron de San Francisco a offert un concert de grande qualité.

 Elles sont trois. Trois jeunes musiciennes talentueuses. Toutes trois sont diplômées du Conservatoire de Musique de San Francisco. C'est en Californie, en effet, que Solenn Séguillon, la violoniste française, a rencontré la violoncelliste américaine Annie Suda et la pianiste taïwanaise Teresa Yu. Elles ont ainsi découvert le plaisir de jouer ensemble et ont décidé de le faire partager en formant le trio Aleron dont l'étymologie grecque évoque l'envol vers les hauteurs.

 

trio aleron de san francisco

 

Un trio de charme venu de Californie

Un concert prodigieux de près de deux heures où Solenn Séguillon au violon, Anne Suda au violoncelle et Teresa YU au piano ont mis à l’unisson tout leur cœur et leur talent pour offrir au public un programme singulier allant du répertoire classique à une fusion de genres, du jazz américain et des expressions irlandaises.  Les auditeurs ont eu l’immense plaisir de voir et écouter le trio de charme interpréter  des oeuvres de Beethoven, Higdon et Dvorak. Au programme : - Trio pour piano, violon et violoncelle n° 7 en si bémol majeur « à l'Archiduc », op. 97 de Ludwig van Beethoven - Trio pour piano, violon et violoncelle de Jennifer Higdon - Trio pour piano, violon et violoncelle n° 4 "Dumky", B.166 op. 90 de Antonín Dvořák.

Une prestation de grande qualité qui a attiré un public nombreux. La grâce et le talent du Trio Aleron de San Francisco ont conquis mélomanes et amateurs de musique classique.

Le trio Aleron est un ensemble de trois jeunes femmes en provenance de Taiwan, de France et des Etats-Unis. Elles séduisent le public par leur énergie et leur passion et ont été félicités pour leur "perfection époustouflante et leur dextérité " par les critiques lors de leur tournée française en 2010. Qu'elles jouent dans des cathédrales, galeries de musée, chapelles intimes, maisons privées, ou salles de concert classique, la mission du trio Aleron basé à San Francisco est de présenter la musique de chambre à un public aussi large et varié que possible.

L'histoire du Trio Aleron est celle d'une heureuse rencontre au cours de l'été 2009. Lors d'une tournée en Italie avec l'Ensemble de Musique de Chambre Zephyr (constitué de musiciens issus des différents Conservatoires des États-Unis), la violoniste française Solenn Guillon et la violoncelliste Annie Suda jouent ensemble pour la première fois et avec grand plaisir. À la suite de cette expérience, les deux jeunes interprètes ont décidé de donner une existence à ce trio en y intégrant la pianiste Teresa Yu.

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 21:01


Auberive a accueilli dimanche la Fête des drapeaux où près de cent dix porte-drapeaux se sont réunis aux monuments aux morts et de la Résistance, avant de se rendre à l’abbaye pour la cérémonie

 

 

fête des drapeauxfête des drapeaux

 

Drapeau au poing, les premiers arrivés attendent patiemment leurs camarades. En ce dimanche ensoleillé, le moment est solennel. La commune d’Auberive accueille la Fête des drapeaux, organisée tous les ans par l’Union nationale des combattants de Haute-Marne. Son président, le colonel Henry Dutailly est à pied d’œuvre pour régler les derniers détails avant le début de la commémoration. Après avoir fleuri les deux monuments, le cortège s’est rendu à l’abbaye cistercienne où le public est venu nombreux pour assister à cette cérémonie.

Pour cette 80ème Fête des drapeaux, dépôts de gerbes et discours ont fait revivre des instants dramatiques, vécus par de courageux citoyens haut-marnais. Le maquis d’Auberive était à cette occasion à l’honneur. Après la lecture de son histoire par Jean Lemaire, la Marseillaise est annoncée. « Drapeau haut ! », commande le maître de cérémonie. Et voici que la fanfare rend hommage aux anciens combattants. Avant de prononcer son allocution, Luc Chatel a remis les insignes d’honneur de porte-drapeau aux récipiendaires. Les 21 organisations de la Résistance ont été énoncées et un hommage aux 258 résistants tombés au combat, fusillés ou déportés a été rendus.

La commémoration s’est achevée autour d’un repas, pour prolonger le temps de retrouvailles et se donner rendez-vous l’année prochaine.

fête des drapeaux fête des drapeaux

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 09:01

marc petit

Luc Chatel, Sophie Delong, Marc Petit, Jean-Claude volot, de nombreux artistes et invités ont officiellement inauguré samedi après-midi à l'abbaye d'Auberive l'exposition visible cet été au centre d'art.

Pour la première fois depuis son ouverture en 2006, le centre d'art contemporain de l'abbaye d'Auberive consacre son exposition annuelle à un seul artiste, le sculpteur Marc Petit. Un véritable défi avec la rétrospective de l'artiste : présenter un peu plus de trois cents pièces de sculptures en bronze sur l'ensemble du site de l'abbaye tout en gardant l'intérêt du visiteur en éveil

Samedi après-midi, une palette de privilégiés a pu découvrir les oeuvres exposées de l'artiste, de ses dessins à bas relief, des plâtres aux bronzes, de ses séries aux pièces uniques, des oeuvres monumentales aux sculptures plus intimes. Une salle dédiée aux oeuvres de jeunesse, pour la plupart inédites, permettent aux visiteurs d'appréhender les influences et les sources de son travail.

Marc Petit, façonneur de vivant

Par son envergure et sa multiplicité, cette exposition montre la démarche technique et intellectuelle de l'artiste avec pour fil conducteur l'ode au vivant. Luc Chatel et Marc Petit ont ainsi suivi Jean-Claude Volot, en guide aussi bien expert que volubile, pour inaugurer hier après-midi cette singulière restropective, troublante et émouvante.

Parfois très grandes tantôt petites, les œuvres de l’artiste révèlent plusieurs aspects de son travail. On y lit dans le même mouvement l’immense compassion de l’homme pour cette humaine souffrance, mais aussi sa très grande admiration, intriguée, presque réjouie à certains endroits, devant la force et la vaillance que déploient les corps en lutte et enfin un talent immense pour faire surgir de l’inertie de la matière la plénitude du vivant ; un souffle puissant dans lequel bon nombre de critiques doivent bien reconnaître la vie. Du cri du nouveau né au murmure de l’agonisant, en passant par la sensualité féminine et les vanités, l’œuvre de Marc Petit est noire, certes. Mais si elle nous parle de mort, avec ces corps exténués et ces regards en creux, c’est pour mieux exprimer le vivant ; Les corps sont décharnés, les visages expirent, les mains agrippent, mais les visages vivent ; les hommes et les femmes de Marc Petit, luttent contre vents et marées pour rester debout, vivants ; leurs expressions figurent avec une force remarquable la terrible nudité de l’existence, en même temps la joie et la souffrance de l’être vivant.

   marc petitmarc petit

 

Les nombreuses oeuvres exposées sur les deux étages du centre d'art et à l'extérieur sont visibles jusqu'au 2 octobre du mercredi au dimanche de 10 h à 12 h 30 et de 14h à 18 h 30

 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 07:50

   
L'Abbaye d'Auberive, site pluridisciplinaire accueillant un centre culturel qui veille au rayonnement des arts, offre au grand public la possibilité de découvrir un art resté discret en France, l'expressionnisme et l'art singulier. Cette année, l'abbaye accueille le sculpteur d'humanité Marc Petit. 

marc petit

Dans le but de faire voir et faire connaître l'art expressionniste en France,l'Abbaye d'Auberive donne la possibilité de découvrir de nombreux artistes de ce courant en les exposant. En effet, l'abbaye renferme un riche fonds d'art brut et d'art de marges de Rebeyro e à Rustin, de Lydie Arickx à Nitkowski ; et propose parallèlement des expositions temporaires chaque année. C'est dans ce cadre que le Centre d'Art Contemporain de l'Abbaye d'Auberive accueille cette année l'humaniste sculpteur Marc Petit. Rétrospective de l'oeuvre de Marc Petit Après Rebeyrolle, Gillet, Nitkowski en 2006 ; « Graffiti Stories » en 2007 ; « Bettencourt, Chaissac, Pons » (2008) ; « Claude Roffat, un parcours singulier » (2009) ; et Alfred Kubin, en 2010, le Centre d'Art Contemporain d accueillera, du 12 juin au 02 octobre , le sculpteur Marc Petit. Une rétrospective de son œuvre, troublante et émouvante, mettra en lumière ses 35 années de métier. Plus de trois cents œuvres seront exposées. Le public pourra découvrir toute la palette du sculpteur : de ses dessins à ses bas-reliefs, des plâtres aux bronzes, de ses séries aux pièces uniques, des œuvres monumentales aux sculptures plus intimes. Une salle dédiée aux œuvres de jeunesse, pour la plupart inédites, permettra aux visiteurs d'appréhender les influences et les sources de son travail : de Phidias à Michel Ange, de Bourdelle à Rodin, de Maillol à Arp. L'ode au vivant Par son envergure et sa multiplicité, cette exposition montrera la démarche technique et intellectuelle de l'artiste avec pour fil d'Ariane l'ode au vivant ; comment, en entrant au cœur même de la sculpture, il recherche les lignes les plus expressives qui soient et les mouvements qui permettent de rendre compte de la condition humaine, de son évolution, du joug de la vie et du poids des ans. Il sera montré la nudité des corps dans toute leur vérité, car c'est ce qui fait l'homme et sa beauté. « La vérité recherchée et produite, je l'espère, au travers de mes personnages de plâtre est comme l’évolution immuable d’une biographie. Elle n’est pas figée, elle se transforme imperceptiblement comme une ride qui se creuse. Chaque sculpture est un point d’encrage dans la réalité d’un moment donné, une sorte de temps arrêté. J’ai besoin de ces bornes, non pour retourner sur mes pas comme le Petit Poucet mais pour avoir espoir et confiance dans le cheminement. » Un catalogue sera édité par l'Abbaye d'Auberive à l'occasion de cette rétrospective avec des textes de Philippe Dagen et Lydia Harambourg.

 

 UNE VIE PARTICULIERE

Marc Petit est né le né le 27 juin 1961 à Saint-Céré (Lot). C'est à Cahors où il passe son enfance, qu’il réalise ses premières sculptures dès l’âge de 14 ans. Il y côtoie deux sculpteurs, anciens élèves des beaux arts de Paris, qui corrigent régulièrement son travail : René Fournier lui apprend les bases du modelage et lui transmet l’enseignement de Marcel Gimond. Jean Lorquin, premier grand prix de Rome lui apporte sa vision, ses connaissances mais aussi une vraie réflexion sur la sculpture. A 24 ans il présente sa première exposition personnelle à Villeneuve sur Lot. En 1989 Il est lauréat de la fondation de France puis en 1993 lauréat de la fondation Charles Oulmont. La même année est organisée une exposition de ses oeuvres au musée Jean Jaurés de Castres. Depuis son travail est régulièrement présenté en Europe dans des foires d’art et en galeries. En 2005 on pouvait voir prés de 150 de ses œuvres au Lazaret Ollandini à Ajaccio. En 2006 la ville de Cahors et le conseil général du Lot lui consacrait une double exposition, au musée de Cahors Henri Martin et au musée Rignault de Saint-Cirq-Lapopie. 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 07:38

 Jean-Claude Borelly, trompettiste de renommée internationale, s'est produit dimanche 29 mai dans le cadre prestigieux de l'abbaye d'Auberive. Une remarquable et grande soirée.

jc borelly
C'est un public sous le charme qui a fait un véritable triomphe à Jean-Claude Borelly au terme de son concert où musique et patrimoine ont résonné à l'unisson. Bien avant le début du concert,la salle de la chapelle de l'abbaye était déjà bien remplie, en effet ce sont pas moins de 250 personnes qui étaient venues de toute part pour assister au concert du célèbre trompettiste. Puis l'artiste a fait son entrée, gratifiant l'assistance du très célèbre « Hymne à l'amour » d'Edith Piaf. Passion dynamisme, humour, c'est avec la joie au coeur que Jean-Claude Borelly a conquis les invités venus écouter ses douces et entrainantes mélodies au son de sa trompette d'or. L'acoustique de la Chapelle de l'abbaye d'Auberive a servi à merveille le répertoire de ce fabuleux musiciens. Le public a pu entendre au cours de cette soirée des morceaux de son immense répertoire, « Dolannes mélodie » qu'il a créé dans les années 70, « l'Adagio » d'Albinoni, « Aria » de Bach, « Sound of silence » , « La Strada », « Les corons », et pour terminer « le temps des fleurs ». Pour résumer, Jean-Claude Borelly, c'est 18 albums enregistrés, plus de 15 millions d'album vendus dans 23 pays et plus de 2000 concerts dans le monde entier.« Tout est extraordinaire, impressionnant, un pro... En effet, des tonnerres d'applaudissements ont régulièrement retenti durant tout le concert, ponctuant la fin de chacun des morceaux interprétés avec puissance et générosité » Une carrière éblouissante La carrière de Jean-Claude Borelly est éminemment reconnue. En 1975, il rencontre le compositeur Paul de Sinneville et enregistre « Dolannes Mélodie » extrait de la musique du film « Un linceul n'a pas de poche » de Jean-Pierre Mocky, ce sera un immense succès international qui le propulsera en tête des hits parades pendent quatre mois en France et dans de nombreux pays. Deuxième grand succès international en 1976 avec le « Concerto de la mer ». Jean-Claude Borelly enchaine des tournées triomphales à travers le monde. Dans les années 1985, il anime avec son grand orchestre, en direct, chaque semaine, l'émission de Guy Lux « Cadence 3 ». en 2005, c'est un nouveau disque pour ses 30 ans de carrière. Intitulé de « Las Vegas à Paris », il compose un nouveau CD qui comporte sept morceaux originaux (dont le tritre principal « Red Rock Canon » et sept immenses succès internationaux. 

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 20:43


La troupe de théâtre parisienne Uburik a invité les spectateurs à prendre place à bord du Virginian et à devenir les passagers d'une croisière imaginaire qui traverse la fabuleuse histoire de Novecento, un talentueux pianiste.

Novecento, c'est l'histoire exceptionnelle d'un pianiste qui conduit son piano, au rythme des vagues, et qui, n'étant jamais descendu du paquebot où il est né, connaît cependant tout de la vie et du monde, car il voyage dans sa tête. Sa vie étrange et poétique est racontée avec humour à travers celle d'un trompettiste, Tim Tooney, engagé dans l'orchestre du navire. Avec étonnement il entend les légendes qui entourent Novecento, ce pianiste virtuose, avant de devenir son ami. Ainsi, il découvre d'où vient cette musique étrange et magnifique qui n'appartient qu'à lui, la musique de l'Océan dont l'écho se répand dans tous les ports..

novecento

 

Un spectacle étonnant rythmé par la mer et les notes magiques s'échappant du piano de Danny Boodmann T.D. Lemon Novecento.

Avec cette fable poétique et métaphorique, l’auteur Baricco a invité les spectateurs samedi soir à visiter les soutes de l’être humain, là où l’on trouve les brèches, et surtout là où se pose la question « Comment faire pour être en règle avec soi-même et ses désirs ? ». Cette pièce, interprétée par Michaël Brothier et Corentin Colluste, est mise en scène par Kim Aubert, sur une musique de Corentin Colluste et des lumières de Manon Fargetton. Il y a un narrateur, Tim, qui raconte l'histoire d'un pianiste, Novecento. Il suffit que l'acteur imagine, précise ses gestes et ses déplacements, module sa voix pour que la magie opère et que le public s'embarque au cœur d'un unique voyage au début du siècle précédent, lorsque l'Amérique était un rêve et qu'elle voyait arriver des milliers de rêveurs, lorsque le jazz chantait, lorsque Novecento fut laissé dans une boite en carton , sur le piano de la salle de bal des premières classes du Virginian. Sans autre attribut que cette histoire , Tim Tooney se présente et raconte. Et en racontant, s'efface. Il est le nom sur lequel s'ancre l'histoire , l'âme dans laquelle s'est fondé le souvenir.

« Ce qui ressort de ce texte n'est pas seulement sa poésie, mais aussi sa parole politique. C'est une pièce qui parle de la société, observée d'ailleurs. Novecento choisit de ne voir le monde que depuis un bateau et de le retranscrire avec sa musique. Voit-il le monde ? Il le voit dans les gens. Leurs yeux, leurs paroles, leur façon de marcher. Il ne voit qu'une " rue " mais il l'observe et en connaît tous ses recoins. Et cette rue-là décrit toutes les rues du monde. Novecento voit dans les gens qu'il observe tous ceux qu'il ne verra pas. Il observe et il apprend à aimer ce qu'il a devant lui. Que ferait-il de milliards de rues et de milliards de buildings, alors qu'il les voit dans les gens qui voyagent avec lui ? »

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 09:36

 

Dimanche 5 décembre, le cadre prestigieux de l'abbaye d'Auberive a accueilli son marché de Noël. Dégustations, animations, il y en avait pour tous les goûts. Une cinquième édition qui a connu un beau succès.

 

noel abbaye auberive 2010

 

Rendez-vous devenu désormais incontournable, le marché de Noël était organisé pour la cinquième année consécutive par Alexia Volot et Siegfried Chapellu, responsables du site de l'abbaye. Abandonnant sa quiétude hivernale, l'abbaye cistercienne a connu un dimanche exceptionnel dans une ambiance magique et pour laquelle la foule des grands jours avait fait le déplacement. Ce cinquième marché de Noël, il est vrai, était servi par des conditions météorologiques idéales, un temps clément s'invitant tout au long de cette journée dominicale où plusieurs centaines de visiteurs, portés par la féerie de Noël, se sont pressés.

Dès 10 h, la grande façade de la galerie nord a commencé à s'animer. Brillamment décorée, la pelouse offrait un avant-goût de Noël. Plus d'une cinquantaine d'exposants étaient installés dans le rez-de-chaussée de l'aile ouest, la chapelle des prisonnières, le cellier et la galerie fermée de l'aile est. Chacun s'est évertué à mettre en valeur leurs plus belles œuvres et leurs savoir-faire.

 

noel abbaye auberiveLes promeneurs ont pu se régaler de la magie qui régnait dans l'imposant bâtiment ou dénicher des décorations pour le sapin de Noël ou la maison. Ils ont également pu admirer les magnifiques chevaux de Sandrine Lombardet qui les ont emmenés faire le tour de l'abbaye en calèche. Les curieux ont également pu découvrir les pâtes de fruits, les pains d'épices et le cassis d'Alice, 100 % jus, sans sucre ajouté, recette qui lui vient de son arrière-grand mère. Michelle Polles et Sylvie Martin, ont fait sensation avec leurs magnifiques tableaux et leurs encadrements divers. Tout comme l'atelier des « Zouzous » de Villars-Santenoge où étaient exposées les confections de la section jeunesse. Ce marché de Noël présentait également les œuvres les alchimies diverses et variées de la boutique de Mélisange, la gentille sorcière de la vallée de l'Aube, les ouvrages d'Eliane Haroux-Métayer, illustratrice d'ouvrages naturalistes. Produits à la truffe, peintures sur galets, miniatures, bougies parfumées, crochet d'art, vannerie, décorations et carteries pour Noël... Il y en avait pour tous les goûts.

Et puis la magie de Noël a pris tout son sens avec l'arrivée d'un invité de marque, un gros bonhomme avec une grande barbe blanche, tout de rouge vêtu, amené dans cette contrée auberiverraine par ses lutins et ses rennes. Sous les regards émerveillés des enfants, le père-Noël a silloné les allées de l'abbaye pour distribuer quelques papillottes tirées de sa hotte. sand mulas noel auberive

 

Rien ne manquait pour que la tradition des marchés de Noël sublime l'abbaye, des lutins plein d'entrain, des décorations de rêves, des exposants bien accueillants et une féérie propre aux marchés de Noël.

 

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 22:23

 

Pour la cinquième année, l'abbaye d'Auberive revêt son décor de fête pour accueillir son marché de Noël. Un marché qui s'enrichit d'année en année.

 

 

aubeabi-copie-1

 

Alexia Volot et Siegfried Chapellu, responsables du site de l'abbaye, se préparent à accueillir les divers exposants et le public pour leur marché de Noël, qui se déroulera dimanche 5 décembre, de 10 h à 19 h dans ce lieu majesteux.

 

 

Petit à petit, l'abbaye se transforme en un royaume hivernal féerique avec des décorations chatoyantes et des illuminations scintillantes. Depuis quelques jours, Siegfried, Bob, Jérémy et Jonathan, les lutins de l'abbaye s'emploient à décorer le cloître de l'imposant bâtiment. Sur la pelouse du cloître, un décor de rêve est en train de sortir de terre. Un immense sapin a été installé/ Ont été également disposés des guirlandes multicolores, des fils lumineux ainsi que des faisceaux lumineux rouges et bleus. Plaisir des yeux lorsque la nuit tombée, les éclairages et autre effets scintillants coloreront la grande façade de la galerie Nord. Petits et grands s'émerveilleront également devant la crèche de Noël installée dans le chevet cistercien.

Cette année, le marché de Noël de l'abbaye se déroulera dimanche 5décembre de 10 h à 19 h. Plus de quarante exposants attendent les visiteurs pour partager avec eux la passion de leurs produits et les délices de nos régions. Les visiteurs pourront flâner entre les étals dédiés à la gourmandise, aux objets de décoration, aux artisans d'arts, artistes et amateurs.

Quelques moments clés de la journée

Promenade en poney dans le parc de l'abbaye avec Arc à Cheval. Tout au long de la journée, le public pourra découvrir les savoir-faire et les délices régionnales comme des créations en tissu, des chocolatiers, des sculptures sur bois. La ligue contre le cancer tiendra un stand tout comme l'association « La Mancine », « les zouzous de Villars » exposeront leurs fabrications. Décorations, broderies, bougies sont au programme. Gauffre, vin chaud, chocolat chaud réchaufferont les visiteurs.

Une restauration est prévue dans le moulin, au menu choucroute, fromage et dessert, réservation indispensable. A partir de 16 h 30, le père-Noël honorera de sa présence ce dimanche festif. Le vieux bonhomme à la houppelande rouge fera sa distribution de friandises aux enfants qui ont été sages.

Pour tous renseignements, contacter l'abbaye au 03 25 84 20 20 ou encore par mail : www. abbaye-auberive.com

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